« Open Ticket » sort en décembre 2006 en France, distribué par EMI, puis quelques mois plus tard, au Japon et en Italie. L’album est « album de la semaine » sur FIP puis playlisté, passe sur Nova et des radios locales. S’ensuit une série d’interviews et d’articles de presse.
« Le groove décliné sous toutes ses formes est le point commun à des tracks souvent inspirés où la sono mondiale est à l’honneur. Un grand bazar où l’on croise les ombres de Tricky, Vikter Duplaix ou même Rachid Taha. L’embarquement immédiat est assuré, pas besoin d’attacher sa ceinture, aucun risque de trous d’air ! »
Trax, janvier 2007
« Sans vouloir faire de la musique carte postale, notre homme a su créer une musique riche, qui ne se laisse pas enfermer dans des schémas trop faciles. Malko était en quête d’une musique résolument ouverte et , sans fioritures, il a su s’élever au niveau de ses ambitions. »
Liability, février 2007
« Bonsaï nous surprend ici avec l'excellente facture de ce disque. Les douze destinations imaginaires de Malko constituent un premier album très cohérent, finement coloré, chaleureux, racé sans pour autant trop transpirer le studio et les gadgets numériques. »
Downtempo, mars 2007
« …il dispense une house chic (Follow my lead ) digne du label Naked et prouve avec « Lose you », qu’en plus des nantais de Smooth, existe en France plus d’un musicien capable de produire une électro lysergique gorgée de références jazzy. La musique lounge chic et raffinée qu’on fait à Paname a de beaux jours devant elle. »
Musicnet magazine, novembre 2007
« Malko, c’est la bonne surprise en matière de deepness en cette fin d’année, et on ne saurait que trop conseiller d’y jeter une oreille attentive… Enjoy ! »
Open mag, novembre 2006
« N’ayant pas décidé d’emprunter le chemin le plus naturel pour nous promener, c’est au contraire le plus sensuel que Malko a choisi de suivre et si le contraste d’un morceau à l’autre est bien réel, chaque suite s’avère à l’arrivée plutôt logique et chaque atterrissage se fait en douceur, comme si la transition était à chaque fois naturelle et qu’aucun décalage ni horaire ni climatique ne pouvait venir perturber une découverte aussi charmeuse ! Plus qu’a de l’art, c’est a du véritable génie que Malko nous a convié…c’est à ne manquer sous aucun prétexte ! »
Zicazic, janvier 2007